NOTRE HISTOIRE

La genèse

Du groupe de maison
à l'église

Claude Gonzalez nous raconte : Nous étions quelques membres d’une église évangélique parisienne qui se réunissaient dans notre maison (région de Coulommiers).
Le développement rapide du groupe ainsi que l’éloignement de l’église d’origine nous ont amenés à structurer le groupe en église locale en 1981.

Unis pour jésus

Une de nos convictions importantes est que nul ne naît chrétien, mais que chacun est appelé à le devenir par la foi personnelle en Jésus-Christ.

Nous baptisons par immersion les croyants qui confessent leur foi et s’engagent à suivre le Christ.

Capucins

Nos premiers cultes ont lieu aux Capucins dans une salle mise temporairement à notre disposition.

Ernest Dessaint

En 1982, nous décidons d'acheter notre premier lieu de culte, au 13-15 rue Ernest Dessaint.

Général Leclerc

En 1992, nous déménageons et nous nous installons au 81-83 rue Général Leclerc près de la Sucrerie.
L'origine du nom

Pourquoi la Bergerie ?

L’église s’appelle “la Bergerie” en référence au texte que nous trouvons dans l’évangile de Jean chapitre 10.
C’est l’histoire du bon berger. Dans cette histoire, Jésus, le bon berger s’adresse personnellement à chacune de ses brebis au sein de la bergerie.
Il appelle chacune d’elle par son nom. Pour Jésus, nous ne sommes pas des anonymes noyés dans la masse et perdus dans le tourbillon du monde.

Vous souhaitez venir ? Obtenir un renseignement ? Rencontrer le pasteur ou l'un des responsables ?

Au coeur de la Brie

Nos racines Briardes

Nous sommes au cœur de la Brie dont l’histoire religieuse a donné le jour à ce que nous voulons vivre aujourd’hui.En effet en 1515 Mgr Guillaume Briçonnet est nommé évêque de Meaux.

Très rapidement, après avoir constaté l’état d’abandon du peuple par le clergé local, il entreprend une réforme profonde. Pour ce faire, il s’adjoint les services d’hommes d’église fervents partisans de ses idées réformatrices.

Notre église

Nous croyons que nous avons besoin les uns des autres pour grandir ensemble.

Ainsi est né le « cénacle de Meaux » : un groupe d’érudits se définissant comme évangéliques et désirant évangéliser notre région. Le premier d’entre eux, Lefévre d’Etaples va traduire la première bible en français courant. Les Saintes écritures n’existaient qu’en latin et sa lecture était interdite. La Bible à la portée de tous va être le repère fondamental de tout ce mouvement qui va prendre une expansion considérable dans tout le royaume.

Hélas les idées de Mgr Guillaume Briçonnet sont difficilement reçues par ses supérieurs hiérarchiques ; la violence des persécutions qui suivront va favoriser la séparation des réformateurs de l’église officielle. Des centaines de familles et d’artisans quittent alors notre région pour se réfugier en Allemagne, en Suisse, en Hollande et en Angleterre.

Nous pouvons dire cependant que le protestantisme évangélique français est né ici dans notre région de la Brie. Nous n’avons rien inventé, nous ne sommes que les héritiers de tous ces réformateurs qui ont redonné leur juste place aux Saintes Ecritures.